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L'allegro, il penseroso ed il moderato (2)

A nouveau à l'opéra Garnier pour écouter "la plus belle musique de Haendel" et retrouver les plaisirs de la mélancolie :

These Pleasures, Melancholy, give,
And we with thee will choose to live.

C'est elle qui s'avance, mesurée et  secrète, selon la merveilleuse pulsation haendélienne ; elle qui convie la frugalité au banquet des dieux (lit-on dans la traduction donnée en surtitre, image superbe d'un luxe idéal accompli non dans la profusion mais dans une forme de dépouillement.)

(Quant à la danse qui fait le spectacle, je ne sais rien de ce que doit être la danse... d'autant que ce soir, une bonne partie de la scène m'est cachée, je ne vois qu'à peine les danseurs, figures d'un paysage absent, presque nus ou bizarrement affublés de jouets ou d'oripeaux, nymphes et faunes se livrant à des jeux d'eux seuls compris.)

Commentaires

  • ... sur des vers de Mi(r)l(i)ton...

  • Milton de plumes ou de plomb ?

  • Milton Hatoum, bien entendu !

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