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Cavalleria Rusticana, Pagliacci

A l'opéra de Bastille.

(Les deux oeuvres forment un étrange attelage : pourquoi a-t-on décidé depuis des lustres qu'elles allaient ensemble ? La première fait penser au folklore inventé des chansons populaires ; la seconde bénéficie de toutes les innovations de la modernité fin-de-siècle, tant à l'orchestre que dans le livret. Et comment ne pas être ému par les efforts condamnés de Nedda pour continuer la farce, ses pirouettes et ses arlequinades alors que son mari a déjà sorti le couteau qui va frapper, perçant le costume de scène, la femme réelle -- ou, plus exactement, située à un degré inférieur dans l'ordre de la représentation gigogne ?)

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