Concert, salle Pleyel.
(Après les sublimes et fort pelléassiens Nocturnes de Debussy, deux oeuvres que je ne connais guère ou pas du tout et dont je ne me souviens déjà plus beaucoup : le Poème de l'extase de Scriabine me fait l'effet d'une compilation des climax de Tristan et Isolde, ce n'est pas ce qu'il y a de plus exaltant.)