(Particulièrement aimé l’interprète de Pamina : elle chante son Ach, ich fühl’s avec grand calme, lentement, soignant l’articulation, laissant se déployer les phrases sans les presser… on dirait qu’elle prend alors le temps de reconnaître son insupportable douleur et de constater avec une gravité qui engage tout son être que le bonheur est à jamais enfui, que sa vie est perdue.)