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Fidelio

A l'opéra Garnier.

Difficile d'accepter que la "même musique" convienne à l'hymne finale et au médiocre quiproquo du début ; qu'elle exalte là l'héroïsme, le dévouement, la liberté, et plombe ici la comédie amoureuse. La représentation n'allait pas très bien et je ne retiens que la phrase sublime de Rocco : Der kaum mehr lebt / Und wie ein Schatten schwebt ?

Commentaires

  • pourquoi tu parles de "la même musique"? (parce qu'il me semble quand même qu'il ya des moments où ça décolle, dans Fidelio)

  • Oui... mais pas ce soir-là.

Les commentaires sont fermés.