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Depression and sterility

Commencé Inner workings, recueil d'articles de JM Coetzee. Il s'agit de critique. Mais, par moments, j'ai l'impression que le jeu recommence et que, sous le déguisement des écrivains qu'il commente, le personnage qu'est l'auteur entre en scène comme il le fait dans ses romans, traçant de lui-même un autoportrait travesti, ironique ou cruel (peut-être un piège tendu au lecteur naïf).

(Par exemple, à propos de Schulz : (he) was incomparably gifted as an explorer of his own inner life, which is at the same time the recollected inner life of his childhood and his own creative workings. (...) But he was right in sensing that he would not be able to draw from this well. From somewhere he would have to renew the sources of his inspiration: the depression and sterility of the late 1930s may have stemmed precisely from a realisation that his capital was exhausted.)

Commentaires

  • Il est meilleur essayiste que romancier. (C'est un peu le problème.)

  • mais Schulz est meilleur ecrivain que dessinateur (non ?)

  • G> j'aime beaucoup ses romans et les préfère à ses essais (est-ce un problème ?)

    z> Coetzee dit la même chose...

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