Au Musée de l'Orangerie.
Tout compte fait, ce que j'aime dans les Nymphéas, c'est que, malgré le grouillement des couleurs, malgré le flamboiement des ombres, en deçà des vibrions et des éclosions à l’œuvre dans la toile, il reste la suggestion d'un plan oblique et non tracé, la surface de l'eau où flottent les nénuphars et où se reflète le ciel, derrière les guirlandes verticales des saules.