Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le comble du pédantisme, c'est moi

Exposition Girodet, au Louvre (oui c'était avec le Vrai Parisien).

Dans une nouvelle de Balzac, le sculpteur Sarrasine aime à en mourir une chanteuse d'opéra. Avant qu'elle ne disparaisse (sans cesser d'être là), il a reproduit ses traits dans une statue dont Girodet s'inspire pour le Sommeil d'Endymion (si j'ai bonne mémoire).

Dans l'Education sentimentale, le peintre Pellerin fait le portrait de Rosanette. Mais il ne parvient à se faire payer ni par Arnoux, ni par Frédéric. De dépit il transforme son portrait en caricature. L'histoire est peut-être inspirée du Mademoiselle Lange en Danaé de Girodet.

Un des modèles d'Octave (dans Armance de Stendhal), dont le mariage n'est pas un succès, est paraît-il Girodet.

Stendhal (encore lui) proposait le Déluge de Girodet comme un exemple d'énergie en peinture dont la fréquentation réformerait le goût trop délicat des parisiens (où ? dans l'Histoire de la peinture en Italie ?)

(et Ossian, Virgile, Racine, Chateaubriand.)

Ai-je seulement regardé les tableaux ?

Les commentaires sont fermés.