Lundi soir, au théâtre de l’Atalante.
Frisson d’horreur. La musique laissée aux mains des monstres.
Tout est prêt pour commémorer l’anniversaire de Himmler. On attend le frère : juge, ancien chef de camp, président de tribunal. Pour passer le temps, Sieglinde se met au piano et joue Beethoven. L’autre sœur, l’infirme, saisie d’horreur, gémit : « La musique …la musique, dans les recoins de cette maison froide. »