Samedi soir au Châtelet, Arabella.
Il n’y a pas d’histoire. Ils ne se sont vus que de loin ou par portrait interposé ; mais dès le départ, ça ne fait de doute ni pour A ni pour M : ils sont destinés l’un à l’autre. Après la première scène du deuxième acte, c’est plié. Accord parfait. Duo final. Alors commence la péripétie ; à la seule fin que A termine comme dans Mozart : en pardonnant.