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Im Frühling, de Wolf

Samedi aux Buttes Chaumont. Toute une matinée affalé dans l’herbe (tel le soldat plein de sommeil d’une Résurrection ; pendant que le soleil monte derrière moi). Le vent ne souffle pas fort ; les pique-niqueurs ne sont pas encore arrivés ; j’entends ceci :

Ich denke dies, ich denke das
Ich sehne mich und weiß nicht recht, nach was
Halb ist es Lust, halb ist es Klage
Mein Herz, o sage
Was webst du für Erinnerung
Im golden grüner Zweige Dämmerung
Alte unnennbare Tage

Goûter l’instant avec, par anticipation, le souvenir qu’on en aura.

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