Concert au Théâtre des Champs-Elysées.
(Also Sprach Zarathustra : passée l’introduction, je ne reconnais plus rien, je renonce à suivre les titres du programme et j’en suis réduit à rêvasser aux ressemblances avec d’autres morceaux du compositeur : semblables non par les thèmes sans doute mais par les tournures et les couleurs. Je crois donc voir passer, dans l’épais ragoût straussien, quelques images des opéras ultérieurs : danses lourdement anachroniques d’Elektra, monologues méditatifs d’Arabella ou de Capriccio, et leurs intermèdes nocturnes, musiques de métamorphose.)