Purcell à la Cité de la Musique.
("L'air du froid" a connu une telle carrière hors de son divertissement natal et, par la métamorphose, atteint le stade du tube planétaire qu'on a peine à le reconnaître quand on le retrouve, à sa juste place, selon la proportion et l'esprit de l'oeuvre originale : sonnant alors comme les grommellements d'un ours mal réveillé, au lieu du vouloir-mourir "d'une âme fatiguée des luttes de la vie". )