Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

The Turn of the screw

Opéra de Britten, à l'Athénée.

(Quand on est habitué à l’œuvre de Henry James, l’opéra de Britten demande un petite effort d’adaptation : il faut bien se faire une raison de ces fantômes qui ne se contentent pas d’apparaître (ou de ne pas apparaître) à la gouvernante comme dans la nouvelle. Ici ils sont incontestables, à égalité avec les autres personnages, en chair et en voix, que la gouvernante soit présente ou absente (qui, dans le livre, gouverne également leurs manifestations). On a donc l’impression de faire connaissance avec eux pour la première fois, figures à part entière, quoique défuntes : Miss Jessel, femme perdue ou bien Didon abandonnée, et Peter Quint, nouveau joueur de flûte de Hamelin).

Commentaires

  • mieux que 2005, non? (je n'arrive plus à me souvenir si c'était cette production que j'avais vue et - détestée, mais les fantômes devaient être assez peu vivants)

  • Oui, c'était très bien ! Pas beaucoup de souvenir d'une version au TCE en 2005. En revanche je me souviens de Ian Bostridge dans le rôle de Peter Quint, en ??, à Bobigny.

Les commentaires sont fermés.