Cantates BWV 38, 70 et 30, salle Pleyel.
(Trois souvenirs : au début la première cantate, les trombones placés dans le chœur avec lequel leur sonorité fait bloc (formant comme la clé de la voûte). L’allégresse du choeur qui ouvre la deuxième cantate, que ne dérange pas même l’évocation de « la fin du monde ». L’air très allant de l’alto dans la troisième, accompagnée par une flûte pastorale : comme l'entrée au jardin d’Eden.)