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Les Capulet[s] et les Montaigu[s]

Les Capulet et les Montaigu, de Bellini, à l'opéra Bastille.

Roméo est chanté par une femme et ce travestissement a pour heureuse conséquence de nous débarrasser de l’indiscrète voix de ténor italien dans les scènes d’amour.

(Mais les épées sont  tirées quand, dans le palais ouvert des Capulet, une musique funèbre vient interrompre la rencontre entre Roméo et son rival. Un chœur invisible soupire : Ahi sventurata ! Juliette est morte. Et c’est elle encore, cette plainte qui retentit dans les salles dévastées : telle que nous l’avons vue, dans les scènes antérieures, belle, éplorée et solitaire, parmi les hommes en armes.)

Commentaires

  • C'est quand même de la musique qui n'en vaut pas la peine, non ?
    (et d'abord, pourquoi omets-tu les "s" ?)

  • Quelle que soit la valeur de la musique de Bellini (dont je ne sais rien), la représentation était splendide (Roméo magnifique).

    (Je croyais les noms propres invariables, mais ce n'est sans doute pas si simple.)

  • L'accord en nombre des noms propres est très compliqué ; en l'occurence, le caractère de famille illustre justifie les Capulets et les Montaigus, je pense.

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