Les concerts en deux parties, un concerto suivi d'une symphonie, ont souvent ceci de déprimant que l'orchestre semble maîtriser beaucoup mieux la seconde que la première (au soliste de se débrouiller !).
(C'était l'occasion de se faire une meilleure idée de la Symphonie "Du nouveau monde" (bien qu'elle fasse partie des oeuvres qu'on a entendues avant de les avoir écoutées). Tous ces thèmes charmants, aux bois, ne seraient-ils pas mieux servis sans sauce symphonique, sans le son de grand orchestre, cordes indiscrètes, cuivres bruyants et roulements de timbales ?).
Commentaires
la sérénade opus 44 du même Dvorak remplit ton cahier des charges (mais pas sûr que ce soir le meilleur Dvorak....)
Ce qui me fascine dans cet article, c'est l'évocation de la mythique salle pleyel. J'avoue n'y avoir jamais mis les pieds. Si certains endroits pouvaient se raconter ..