L'autre jour à Madrid, Guernica me faisait penser aux grands tableaux du dix-neuvième siècle accrochés au Louvre (passés au noir et blanc contemporain, celui des actualités et du papier journal). Aujourd'hui au Louvre, je cherche à confirmer l'impression : le profil du guerrier étendu, au glaive brisé (?), sous les sabots du cheval vient-il des Sabines ? la diagonale, l'intérieur abstrait, la figure affolée qui surgit à droite, le cheval massacré sont-ils empruntés à la Mort de Sardanapale ?
Tant d'autres images pourraient aussi bien faire l'affaire.