A Pleyel.
Un concert dominé par l'interprétation de la Cinquième Symphonie de Chostakovitch, après l'entracte. Lentes ou brutales, les grandes figures d'héroïsme ou de triomphe y apparaissent absolument dépourvues d'enthousiasme, stériles, nues et mécaniques, mises à distance. S'en détourne une voix très naïve, dans le largo, un célesta (comme l'Idiot à la fin de Boris Godounov ?)