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Lumières portées

Ouverture de la Femme sans ombre (trad. JY Masson), d'Hofmannsthal.

La nourrice ne dort pas ; avant l'aube, sur la plus haute terrasse du palais, elle voit voler à elle un esprit lumineux :

la chose qui luisait s'approchait rapidement, et les cimes des arbres reçurent de son passage une lueur.

(Ainsi dans ce début, ce n'est pas l'ombre mais la lumière qui est projetée : par le messager, par le soleil et par le corps de l'impératrice, la femme sans ombre).

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