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Mozart, Lachenmann

Concerts à la Cité de la Musique.

Je suis en retard... le premier concert a déjà été évoqué ici, le second ici et là. Les uns et les autres ont décrit les traitements inhabituels que Lachenmann applique avec constance aux instruments de musique. Ce vocabulaire (raclages, tapes, grattages, sifflements, triangulations, etc.) n'est pas impuissant à donner à l'auditeur des impressions différentes et caractéristiques : atmosphère fantomatique dans Notturno, clownesque dans Accanto, grave dans Schreiben.

(A cet égard c'est dans Accanto qu'il se passe le plus de choses : je me rappelle encore du passage où la figure (qualifiée de prout par Zvezdoliki) passant d'abord d'un instrument à un autre puis exécutée par l'ensemble des cordes évoquait le réveil d'une bande de sauriens dont le rot général finissait par terrifier le soliste - clarinette affolée à la voix perdue).

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