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L'Amour des trois oranges

A l'opéra Bastille.

Avis des habitués : ça a coûté très cher mais, pour une fois, ça se voit - et c'est réussi.

Le meilleur de la fête vient (sans doute) de la comédie de Gozzi où, après un commencement d'allégorie (le trône convoité du Roi de Trèfle, Pierrot prince mélancolique pour avoir avalé trop de mauvais vers), la malédiction de la terrible fée Fata Morgana verse le spectacle dans le conte : sans logique, un vent merveilleux, une cuisinière plus terrible que Fafner - mais coquette (ça la perdra) - et trois oranges qui sont trois princesses qui meurent de soif.

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