« Le Palazzo Grassi est en ruine ! Le Palazzo Grassi est en ruine ! » clamait, péremptoire, un type assis derrière moi.
Et comme son interlocuteur inarticulait de vagues objections : « il a acheté un hôtel particulier à Venise. Idéalement placé. Donnant sur le Grand Canal ... mais c'est une ruine. C'était une connerie de laisser Boulogne ... de toutes façons, tout est à refaire : il y en a pour des années. »