Au cinéma, Une Passion, de Bergman.
Je ne m'intéresserai pas à ces gens ni à leur histoire. Mais la pénombre. C'est l'hiver. On ne sait pas l'heure. La maison n'a pas l'électricité : seule la lumière crépusculaire, une bougie qu'on allume et qu'on souffle, une lampe à huile qu'on promène, le sommeil entre le jour et la nuit.
La suite du rêve final de La Honte, cette fois-ci explicitement comme un rêve. La barque s'échoue. La femme seule erre sur le rivage. Croise des femmes en noir : des veuves ou des mères qui ont perdu leur fils. Elles la repoussent, la fuient.