Au cinéma, La Rue de la mort, d'Anthony Mann (film vu par le Vrai Parisien).
On retrouve le couple des Amants de la nuit de Nicholas Ray. Farley Granger a un rôle similaire de héros-victime, innocent et coupable, mêlé presque malgré lui à une sale histoire. N'est-ce pas le meilleur du film les scènes où il erre, anonyme, dans New York avec ce secret qui pèse sur lui, ou bien avec sa femme et leur fils qui vient de naître, et pourtant seul, séparé d'eux ?