(Joli moment à la toute fin du mouvement central du concerto de Saint-Saens. Le violon, au plus aigu, cercle d’un fil de cuivre les délicates pièces rondes que souffle la clarinette ; c’est merveille de voir les deux instruments s’ajuster si bien malgré la distance. Tout le mouvement est repris en bis ; on peut donc admirer deux fois la prouesse mais il faut aussi supporter alors l’ennui de tout ce qui la précède.)