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Liszt, Mahler, Duparc, Strauss

Récital de lieder et de mélodies au théâtre des Champs-Élysées.

(On a beau connaître par cœur la Vie Antérieure de Baudelaire, dans la version de Duparc, et savoir comment cela se termine : in cauda venenum, le frisson demeure. Le poète a retourné le paysage de Claude Lorrain. Portiques, quais et gréements : toutes ses lignes s’ordonnaient selon le disque parfait du soleil, bas sur l’horizon. Mais ici les rayons aboutissent à l’œil qui les reflète ; le point est sensible. Il détermine la vision. Les élancements de la conscience expliquent le balancement des palmes et les oscillations marines ; les houles roulant font l’écho du douloureux final.)

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