Concert à la Cité de la musique.
Cantate "Ich habe genug" BWV82.
(La voix la plus basse se révèle également la plus légère, l'annonce de la mort une joie. Le chant marque à peine une parole, se joignant aux lignes presque dansantes et uniquement sonores de la musique générale ; voici le point où l'individu s'abîme dans le sein du Sauveur. Récitatif – "Mein Gott ! wenn kömmt das schöne : Nun !" – Dans un même souffle, la phrase expire et exprime le seul moment, le bel advenu qui dit adieu.)