Salle Pleyel : Illuminations de Britten, Huitième de Chostakovitch.
(Hormis celle-ci, je ne connais pas de mises en musique de Rimbaud et l’expérience ici est plutôt rebutante : d’autres poèmes, ceux du Cahier de Douai, iraient peut-être mieux mais la prose des Illuminations est particulièrement rétive. A la lecture du texte, l’accompagnement de cordes sonne étriqué et douceâtre, et le propos paraît trivial ; ou bien les phrases font bloc et la musique n’y entre pas).