Les fleuves, comme d'immenses clairons, chantent à l'océan la beauté de la terre, la culture des champs, la splendeur des villes et la gloire des hommes.
(Hugo, le Rhin).
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Les fleuves, comme d'immenses clairons, chantent à l'océan la beauté de la terre, la culture des champs, la splendeur des villes et la gloire des hommes.
(Hugo, le Rhin).
Commentaires
Clairon en mi bémol majeur ?
Bonnes vacances !
... moyennant quoi l'océan se sert de coquillages pour se boucher les oreilles....
> P[s]: oui, c'est bien ainsi qu'il faut l'entendre...
> z: coquillages qui sont pour lui des miroirs sonores puisqu'on y entend la mer, paraît-il