L'Echange, de Claudel, au Théâtre de la Colline.
La journée qu’on voit clair et qui dure jusqu’à ce qu’elle soit finie !
(Mais, ainsi qu’un oiseau pousse son cri, régulièrement, en deux ou trois points, la salle toussait lourdement. Les comédiens (pas tous, pas tout le temps) accéléraient leurs tirades et, par pans entiers, le "verbe claudélien" sombrait, dévalant le tourniquet des conjonctions : …comme…, …comme…,…comme…).