Sixième symphonie, au Théâtre des Champs-Elysées.
Pendant les trois premiers mouvements, je rongeais mon frein espérant beaucoup du finale (n’est-ce pas le plus prodigieux Mahler ?). Puis elle finit par arriver, cette façon d’agonie, fureurs et effondrements, avec les fameux coups de marteau (deux avérés et le troisième manquant). Ensuite le silence se fit… - eh quoi ! N’est-ce donc que cela ?… j’attendais encore.