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Schütz, Bach, Brahms

Salle Pleyel.

De la première partie (pièces de Schütz et Johann Christoph Bach) à la seconde (le Requiem de Brahms), le choeur (tel que je l'entends) change de sens : moins une parole humaine, plus proche de la langue figurée de l'orchestre. Il exprime aussi le désespoir, la résignation, l'apaisement ou le triomphe (inégalable euphorie des fugues qui terminent les parties 2 et 6 : Der Gerechten Seelen sind in Gottes Hand und keine Qual rühret sie an et Tod, wo ist dein Stachel? Hölle, wo ist dein Sieg?) mais on n'y retrouve pas la prière dite à mi-voix dans le Wie lieblich sind deine Wohnungen de Schütz, le ton personnel et la supplication : Herr Gott Zebaoth, höre mein Gebet.

(Egalement ici).

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