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Schumann, Mendelssohn, Brahms

Salle Pleyel.

Programme Brahms. Les choeurs sont splendides, l'orchestre a une sonorité inhabituelle dans cette musique (comme une voiture dont auraient été enlevées les suspensions ; on sent tous les cahots de la route : on profite des embardées. La deuxième Symphonie gagne en verdeur, en jeunesse, en brutalité quand les trombones soufflent noir.)

(Mais j'ai préféré la pièce de Schumann ("Nachtlied") : les ténèbres roulent, couronnées de lueurs, avant l'apaisement étale des assonances en a : Schlaf, da nahst du dich leise...)

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