(...) il n'y a plus de champs et les rues sont vides, je te parlerai de nos meubles.. (Frisson d'hiver).
Dans la maison de Valvins, où mourut Mallarmé, sont montrés en bonne place (après quels déménagements ?) ces objets qui seraient la pendule de Saxe et le miroir de Venise du poème.
(Mais aux vitres nulle « ombre singulière » ; et, par la fenêtre, ou derrière les stores éblouis les arbres en fleurs du jardin, ou le désordre des haies au bord du fleuve).