Concert à la Cité de la Musique.
Madrigali amorosi du livre VIII. Surtout : - Vago augelleto che cantando vai (le premier vers fait le refrain et le titre ; et la complication des tourments et la complexité des voix agencées se résolvent dans la gaieté d'un appel). - Un air pour deux ténors Mentre vaga Angioletta, qui commence a cappella (la voix nue accomplit alors la figure dite par les mots qu'elle prononce : il mio core pende tutto dal suon del soave canto). - et l'inconsolable, l'irrépressible Lamento della Ninfa (le chœur gris de l'aube traversé par le cri de la Nymphe : Amor...)