Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rimski-Korsakov

Concert au Théâtre des Champs-Elysées.

De Salieri une ouverture.
De Mozart un concerto.
De Rimski-Korsakov des « scènes dramatiques » tirées de Pouchkine, dont le titre reprend congrûment le nom des compositeurs joués en première partie. (Mais ça ne fait pas un programme cohérent, au contraire : après les œuvres des originaux, les personnages de Pouchkine frisent le grotesque. Salieri tire une fiole de poison de sa poche, la brandit et déclame ; plus loin Mozart s'apeure : « Mon requiem m'inquiète » ).

(Sentiments mêlés dans l'archi-célèbre andante du 21ème concerto : plaisante promenade quelquefois envahie par une tension telle le frôlement d'une douleur insupportable).

Les commentaires sont fermés.