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La Main

Au cinéma, Eros. Trois court-métrages accolés : après avoir vu celui de Wong Kar-Wai, on oublie les deux autres, Antonioni et ... comme s'appelle-t-il déjà ? Cependant chez le premier n'y avait-il pas comme un parfum de La Prisonnière ou de La Fugitive, qui rappellerait son chef d'oeuvre Identification d'une femme ?

La Main, de Wong Kar-Wai. C'est le constraste entre la matière inorganique, superficielle et bariolée : bijoux et tissus (mais aussi verre, papier peint, escaliers, reflets) et le corps vivant, plein et pâle, qui s'y abrite (vivant, c'est à dire qui jouit, souffre, meurt). La main (et l'oeil) glisse à travers cela pour trouver ceci.

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