Das ist des Frühlings traurige Lust !
(Le récital se termine (avant la récréation des bis) par le Frühlingsfeier de Heine mis en musique par Richard Strauss. Alors, tout en faisant mine d’arranger ses mains en porte-voix, se tournant vers le public, successivement aux trois points cardinaux de la salle Pleyel (le quatrième à l’arrière-scène est resté vide), la chanteuse répète le cri antique et neuf de toute éternité, propre à réveiller tous les cadavres, qu’ils soient vieux de trois jours ou de trois mille ans : Adonis ! Adonis ! )