Concert Beethoven au Théâtre des Champs-Elysées : Huitième et Septième symphonies, ouvertures d'Egmont et de Coriolan.
(La masse et la concentration de l'orchestre donnaient à l'entêtement de la musique de Beethoven, à son
Ce n'est rien ! j'y suis ! j'y suis toujours
une énergie proprement titanesque. L'ouverture de Coriolan, offerte en bis, était d'une intensité que je ne crois pas avoir entendue une autre fois au concert.)