(Quand l'Adagio de la 7ème de Bruckner commence, il ne semble que rendre sensible une musique antérieure. On l'entend la première fois comme une répétition. Quelque chose courait souterrainement qui maintenant affleure. Ce n'est qu'après l'apogée du mouvement (avec coup de cymbales et sonnerie de triangle) que le thème enfin retentit isolément, mis à nu, lavé des voix antérieures ; il résonne dans l'espace que l'énorme marée sonore, en se retirant, a dégagé.)