Salle Pleyel.
O Röschen rot !
Je vois des pivoines dans une teille de cuivre, avec leur couleur dans l'eau (Claudel)
(Au début d'Urlicht, la voix penchée sur lui colore le souffle de l'orchestre ; rouge sombre noyé qu'un peu de lumière fait disparaître, à peine vu.)
***
(Le finale a quelque chose de sinistre avec son essai d'auto-consolation véhémente : combien fort qu'il gueule, le chant ne laisse rien derrière lui dans la salle claire, quand il cesse. Le chœur-Moi clame « je ne mourrai pas » et le silence manque de répondre à l'assemblée de fantômes : « c'est déjà fait »).