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Mozart, Schubert

Concert au Théâtre du Châtelet.

Avant que ça commence, une voix off avertit que la première partie serait réduite au seul Sposo deluso : l'opéra bouffe, inachevé, de Mozart suffit amplement « en raison de la découverte de nouveaux numéros ». Les airs chantés correspondent au programme imprimé, qui n'en dit mot. On n'en saura pas plus (exit la Symphonie n°33).

En seconde partie, la Neuvième de Schubert.

(La symphonie étale un paysage, s'y aventure, le replie, change son ciel, l'embrume, souffle, éblouit. Je me disais, quelquefois absent sans cesser d'y être, entendant sans toujours écouter : la musique n'est pas seulement un phénomène sonore, c'est un espace, que la salle renferme et où on est pris. Architecture enveloppante, invisible ou obscure (fermons les yeux), échafaudée dans le temps, transitoire).

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