Deux mots après un concert au Musée d'Orsay :
A propos de l'Adagio de Berg, je renvoie à la note et à la radio de Zvezdoliki (tout un roman : minuit sonnant, palindrome sublime, intiales entrelacées ; mystère sans l'impudeur de la fort gênante Suite Lyrique).
(Et oubliant la référence/révérence, j'avoue que le Pierrot Lunaire est loin d'être l'oeuvre de Schönberg que je préfère).