Découvrant le pâtre promontoire et les escaliers fées de Hugo (mais que va devenir Hugo sans le Vrai Parisien ?), je me rappelle l'enseigne d'un immeuble cossu du quartier de l'Opéra, presque : BANQUE MISERE.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Découvrant le pâtre promontoire et les escaliers fées de Hugo (mais que va devenir Hugo sans le Vrai Parisien ?), je me rappelle l'enseigne d'un immeuble cossu du quartier de l'Opéra, presque : BANQUE MISERE.